Exposition collective à l'Artothèque, Caen
Conçue comme une réponse au centenaire de la Première Guerre Mondiale, Sans tambour ni trompette - Cent ans de guerres permet de revenir sur la Guerre des Tranchées, mais surtout sur les guerres qui l'ont suivie. Aux quatre coins du monde, les conflits n'ont pas cessé, l'Homme s'obstine au combat.
Si des réflexions autour de la mémoire, de la commémoration ou encore de l'Histoire sont inhérentes à la démarche de certains des artistes invités, c'est surtout un regard sur une époque qui est proposé : celle des guerres contemporaines.
L'exposition croise des pistes de recherches liées à la question de la restitution du souvenir personnel et collectif, au témoignage (direct et indirect), à l'appropriation des symboles et des objets, à la violence, aux traumatismes, aux cicatrices (visibles et invisibles), à la réparation, à la médiatisation et au territoire. C'est la guerre comme phénomène social et culturel qui émerge. Des luttes au centre desquelles l'humain est présent, plus que jamais.
Sans visée documentaire, l'exposition se réfère pourtant au réel avec des oeuvres qui s'en détournent, prennent du recul par rapport à ce que les médias peuvent montrer, laissant planer derrière elles poésie et amertume.
Commissaire : Julie Crenn
Artistes : Giulia Andreani, Kader Attia, Raphaël Denis, Morgane Denzler, Damien Deroubaix, Harald Fernagu, Khaled Jarrar, Léa Le Bricomte, Claude Lévêque, Régis Perray, Delphine Pouillé, Sophie Ristelhueber, Martha Rosler, Erwan Venn
Commissariat : Julie Crenn
Conçue comme une réponse au centenaire de la Première Guerre Mondiale, Sans tambour ni trompette - Cent ans de guerres permet de revenir sur la Guerre des Tranchées, mais surtout sur les guerres qui l?ont suivie. Aux quatre coins du monde, les conflits n?ont pas cessé, l?Homme s?obstine au combat.
Si des réflexions autour de la mémoire, de la commémoration ou encore de l?Histoire sont inhérentes à la démarche de certains des artistes invités, c?est surtout un regard sur une époque qui est proposé : celle des guerres contemporaines.
L?exposition croise des pistes de recherches liées à la question de la restitution du souvenir personnel et collectif, au témoignage (direct et indirect), à l?appropriation des symboles et des objets, à la violence, aux traumatismes, aux cicatrices (visibles et invisibles), à la réparation, à la médiatisation et au territoire. C?est la guerre comme phénomène social et culturel qui émerge. Des luttes au centre desquelles l?humain est présent, plus que jamais.
Sans visée documentaire, l?exposition se réfère pourtant au réel avec des ?uvres qui s?en détournent, prennent du recul par rapport à ce que les médias peuvent montrer, laissant planer derrière elles poésie et amertume.
Artistes : Giulia Andreani, Kader Attia, Raphaël Denis, Morgane Denzler, Damien Deroubaix, Harald Fernagu, Khaled Jarrar, Léa Le Bricomte, Claude Lévêque, Régis Perray, Delphine Pouillé, Sophie Ristelhueber, Martha Rosler, Erwan Venn